Romain Puertolas réussit avec ce roman, un vrai coup de maître. Il raconte un drame actuel avec beaucoup d’humour et d’ironie, ce qui fait qu’on se sent concerné dès la première page.
Le personnage est touchant, drôle et émouvant. Bref, ce petit fakir a tout pour plaire et il ne vous laissera pas indiffèrent.
Mon deuxième coup de cœur, « la Super Supérette » est très gourmand ! Deux copines se sont mis dans la tête de vous faire saliver pour le reste de l’automne !
En fait, elles ont revisité des recettes « cultes » de supermarché : mikado, pepitos, pim’s…
Je l’ai inauguré avec cette délicieuse brioche. Un vrai délice pour le goûter et 100% maison, sans ingrédients bizarres à l’intérieur !
Ce village médiéval est situé à seulement 26 km de Bordeaux.
Vous pouvez profiter tout autour du village de vues panoramiques époustouflantes.
St Emilion et sa « juridiction » sont inscrits au patrimoine mondial de l’humanité par l’Unesco depuis 1999.
La balade à travers les ruelles est très plaisante.
Les boutiques de vins et souvenirs se fondent dans le décor d’une manière admirable.
L’église monolithe a été construite entre le XIIème et le XVIème siècle. Si vous voulez voir un panorama spectaculaire, il vous suffit de monter les 196 marches du clocher.
Ses grandes dimensions font d’elle, l’église monolithe la plus grande d’Europe.
L’église collégiale et son cloître.
Le cloître des cordeliers
La petite confiserie des véritables macarons vous attend pour une pause gourmande.
La recette des anciennes religieuses est un secret bien gardé depuis 1620.
Le poète Alphonse Daudet a dit : « La gourmandise commence quand on n’a plus faim »
C’est dans ce couvent que les sœurs ursulines se sont installées en 1920 et elles y ont créé les fameux macarons. Le vin et les macarons sont les deux spécialités de Saint-Emilion.
Les vignes ne sont jamais loin de la cité. Dans tous les coins, on respire la culture du vin.
C’est l’époque des vendanges comme chaque année. La saison idéale pour visiter St Emilion, déguster son vin et s’ennivrer de sa culture !
J’adore l’automne ! C’est un vrai plaisir de se promener dans la campagne à cette période de l’année, plus de moustiques, la température est idéale et les paysages magnifiques !
Torocoro a mis ses bottes de pluie et son imperméable pour aller chercher des champignons dans la forêt.
Mamie Suzanne dit toujours : « on dirait que le bleu du ciel est plus intense quand on le regarde à travers les feuilles d’un arbre ». Je crois qu’elle a raison.
C’est l’époque des vendanges. On attend avec impatience de savoir si le prochain millésime sera un bon cru.
On prend son temps. On se repose davantage et quand on peut, on traine quelques minutes de plus au lit.
C’est aussi la saison des marrons et du feu dans la cheminée.
Les vacances sont finies pour la plupart d’entre nous. Il reste encore quelques chanceux.
C’est l’été indien qui commence, il est magique ! Dès qu’on a un peu de temps libre, on peut faire plein de belles choses.
Voici quelques résolutions et des idées pour la rentrée :
On peut jouer aux touristes dans notre ville. On a tendance à partir toujours ailleurs, mais chez nous il y a beaucoup de choses à découvrir.
Le meilleur moyen reste le vélo. On peut faire de grandes balades, il fait moins chaud et c’est très agréable.
Les champignons sont à cueillir et les figues à récolter. Il reste encore quelques mûres.
Osez changer la voiture pour le vélo, ça peut être une bonne résolution pour la rentrée.
On ne pollue pas et en plus c’est bon pour la santé !
On mange des « tortitas » (pancakes) au petit déjeuner avec du sirop d’érable.
Vous avez encore jusqu’au 6 octobre pour admirer les sculptures monumentales de l’artiste catalan Jaume Plensa à Bordeaux.
C’est aussi le moment de se régaler avec un bon poulet rôti a midi…
Les immenses sculptures de Jaume Plensa se fondent totalement dans la ville. On dirait qu’elles ont toujours été là.
Cuisiner avec les enfants. Ils adorent mettre les mains à la pâte.
Faire un tour dans votre librairie préférée et regarder les nouveautés.
Ces livres de cuisine sont mon coup de cœur de la rentrée.
Et surtout c’est le moment de continuer encore et toujours de créer. Peu importe la forme et la manière : couture, arts plastiques, bricolage, photo … le plus important est de profiter de chaque moment et de laisser aller votre imagination.
L’Escale se trouve devant le débarcadère de Bélisaire depuis une cinquantaine d’années.
Évidemment, la première chose qui fascine quand on arrive au restaurant, c’est la vue ! Ici, on est en première ligne….le bassin, les bateaux et la Dune du Pyla !
Chose exceptionnelle : en plus du panorama, on y mange très bien, ce qui est rare dans un lieu avec autant de passage…
Le poisson est excellent. Mon plat préféré est le « Mulet du Bassin grillé sauce verte ». Vous ne laisserez dans l’assiette que les arêtes !
Le personnel est toujours de bonne humeur et sympa. C’est un réel plaisir !
En été, le bar à tapas de L’ Escale est ouvert.
Idéal pour manger ou patienter pendant qu’une table se libère au restaurant.
Mes tapas préférés sont : » Los Chipirones grillés à l’Espagnole » et les » Moules à la plancha ».
A l’intérieur une super décoration « vintage » vous attend.
Juste à côté, la Gare de Bélisaire et son mini train qui vous amène faire un tour au Ferret.
Le Cap Ferret reste un petit coin de paradis à côté de Bordeaux.
C’est la deuxième année qu’on a le bonheur de rencontrer la compagnie « L’arbassonge » à Montolieu.
Cette année, au programme, « Sur le fil ». C’est un spectacle qui dure à peine 5 minutes.
Ce sont 5 minutes de poésie en mouvement.
« La Galéjade » ou le protagoniste est ce petit personnage au nez rouge qui rigole sans arrêt et qui a un fou rire contagieux.
Si vous habitez dans l’Aude ou l’Ariège et que vous croisez le chemin de ces saltimbanques du XXI siècle, arrêtez-vous un moment et laissez-vous emporter par la magie de ce duo de comédiens hors pair.
Le barrage de St Ferréol a été construit par Paul Riquet entre 1667 et 1672 dans le but d’alimenter le canal du midi.
Depuis 1997 St Ferréol est inscrit au titre des monuments historiques.
Sur le lac on peut faire beaucoup de choses: on peut le parcourir et contempler sa beauté, nager, faire du pédalo, du paddle, de la planche à voile et du vélo sur les pistes cyclables…
Il existe un parcours d’acrobranche pour les enfants et un minigolf.
Finalement le plus dur à St Ferréol, c’est de choisir entre la gaufre et la glace du St Fé!
J’adore aller à la brocante. On voit des objets inattendus d’autrefois qui font rêver.
A qui appartenait cette assiette ou cette belle figurine ? Sans doute à un moment donné ils devaient être des objets très appréciés. Et pourquoi ont-ils fini là ? Je me pose toutes ces questions pendant que je me promène dans le bric à brac.
Mais ce que j’aime surtout c’est que peu importe comment ils ont fini là, aujourd’hui ils ont une deuxième chance.
Les voitures iront dans les mains de collectionneurs avertis ou dans les mains d’un enfant…
La belle sirène trouvera à nouveau un bateau ou prendra sa retraite dans un jardin à côté d’une piscine ?
Les assiettes serviront à nouveau des mets, comme celle-ci :
Pa Amb Tomàquet (pain à la tomate)
Cette recette vient directement de Catalogne et vous pouvez aussi la déguster aux îles Baléares.
Les ingrédients sont: tomates bien mûres, ail, pain grillé et une bonne huile d’olive.
Faites griller des tranches de pain de campagne, frottez-les avec une gousse d’ail coupée en deux. Ouvrez les tomates en deux et frottez directement dans le pain, arrosez d’huile d’olive, salez et servez immédiatement.
Vous pouvez aussi rajouter un peu de basilic frais.
En Espagne , c’est très agréable de déjeuner dans un bar. Alors avant d’aller au marché, j’en profite et je prends des forces dans l’un de ces sympathiques bars .
Depuis 1902, le marché d’Abastos approvisionne la ville entière et ses alentours en produits frais.
Dans les halles qui se trouvent à l’extérieur , les villageois des environs viennent vendre leurs marchandises directement du producteur au consommateur.
On quitte la « Plaza del mercado » pour rencontrer une autre spécialité de la terre :le vin.
Sur le chemin , on peut admirer l’architecture de la ville. Ces personnages ne sont-ils pas sympathiques ?
A Zamora , on trouve des marchands de vin à tous les coins de rue mais je préfère aller à Balborraz.3.
En effet, Rogelio connaît tous les vins de la région et il sait conseiller comme personne.
Dans cette région, on trouve l’appellation Toro et une fois qu’on l’a goûté , il est difficile de boire un autre vin.
Après ce tour de marché, on mérite bien quelques « pinchos » que l’on déguste à « Los caprichos de Meneses » où Alfonso, sa femme Margarita et sa fille nous accueillent comme à la maison.
Alfonso et sa fille.
Dans cet endroit , tradition et modernité se marient . On se régale avec des plats traditionnels mais aussi avec des mets originaux tels que la glace au foie gras ou le mini hamburger…un vrai délice !
Alfonso a une très grande sélection de vins de Toro , c’est alors l’occasion de les découvrir et de les apprécier.