J’ai passé quelques jours en vacances en Andalousie où tout est couleur et lumière. En me promenant au « mercadillo » avec ma mère, j’ai craqué pour ces paniers pailletés tous plus beaux les uns que les autres.

Ils existent dans plusieurs coloris et de nombreuses tailles.

En les regardant et les observant, l’idée m’est venue d’en réaliser un moi-même, au lieu de l’acheter . Pendant les vacances, j’aime bien me lancer des petits défis comme celui-ci.

Matériel :

• Panier

• Des bobines de fil pailleté de votre couleur préférée

• Des bobines de fil assorti à la couleur du fil à paillettes que vous avez choisi

• De grandes aiguilles

J’ai eu la chance de travailler dans un cadre exceptionnel,  La Najarra. Cet ancien palais est aujourd’hui reconverti en office de Tourisme d’Almunecar. L’accès y est libre et vous pouvez profiter de ses somptueux jardins le temps que vous désirez.

Le travail de réalisation est assez simple. Cependant, il faut disposer d’un peu de temps et être patient. En effet, on avance pas à pas et donc pas très vite  !

J’ai commencé à faire quelques rangées de couture et je  me rends compte très vite que pour faire le panier entier, on a besoin de beaucoup de temps libre, à consacrer à cette activité.

J’ai décidé de faire un petit dessin inspiré par la Méditerranée, le résultat est là !

 J’ai représenté un petit poisson qui nage. Certes, quand je vois ceux des magasins et du marché, je constate que le mien est moins joli. Mais voilà, c’est moi qui l’ai fait et il est unique au monde !!! Alors, je me dis que c’est là un beau souvenir de mes vacances de printemps, utile et pratique.

Eva.

Cette plage appartient à la ville d’Almuñecar en Andalousie même si pour y accéder vous avez besoin de sortir de la ville et de prendre la voiture.

Je viens dans ce lieu depuis mon enfance. J’aimerais vous dire que depuis rien a changé, mais évidemment rien ne peut rester figé dans le temps. Il y a beaucoup de constructions mais l’endroit n’a pas pour autant perdu son âme et son charme.

On aime bien venir ici pour manger au « Chambao de Joaquin », un restaurant où l’on a presque les pieds dans l’eau et où l’on peut goûter aux spécialités de la région avec délectation.

La cuisine est à l’air libre.

Les sardines se font doucement au feu de bois. Elles sont délicieuses !

Les poulpes à la plancha sont quant à eux merveilleux.

La paella se cuisine aussi au feu de bois.

Le chef Joaquin n’est jamais très loin et discute avec ses clients spontanément.

La salade tropicale est extra, elle est riche en fruits et en vitamines !

C’est un moment de détente pour tout le monde.

Cet endroit est un rêve, manger face à la Méditerranée est un instant unique et privilégié !

Eva.

Je ne me lasse jamais d’une salade comme celle-ci et je pourrai en manger tous les jours ! J’apprécie le mélange des textures et des saveurs. Le croquant des noix de cajou, le fondant des fromages, la fraîcheur des légumes…tout est là pour faire de ce plat, la salade idéale pour moi.

Ingrédients :

• Une botte d’asperges

• Quelques câpres

• Fromage de chèvre coupé en fines tranches

• Tomates et tomates cerises

• Feta

• Des pousses de cresson et d’alfalfa

• Quelques noix de cajou coupées en petits morceaux

• Salade (roquette, jeunes pousses, batavia) selon votre goût

• Vinaigrette (vinaigre de Xérès, huile d’olive, moutarde, sel et poivre) à votre goût

 A l’aide d’un petit couteau éliminez les filaments des asperges. Remplissez à moitié une casserole d’eau, portez à ébullition et plongez-y les asperges.

Faites-les cuire pendant 2 ou 3 minutes, puis égouttez-les et plongez-les aussitôt dans un bol d’eau glacée.

Une fois que les asperges sont prêtes, le reste de la salade se fait presque tout seul. Il faut couper les ingrédients et les disposer dans l’assiette selon votre envie.

Pour ma part, je mets d’abord la salade, puis les asperges coupées en morceaux, les tomates, la feta…. Enfin, je dispose les noix de cajou et je verse la vinaigrette.

Votre salade est réalisée en un rien de temps.

N’hésitez pas à l’accompagner d’une tartine !

Eva.

Voici, les biscuits aux zestes de citron que j’ai réalisé le weekend dernier pour souhaiter la bienvenue à ma nouvelle assiette, celle que j’avais acheté au vide-grenier.

Ces biscuits sont délicieux. Le zeste de citron leur donne un petit goût printanier, le miel apporte de la douceur et la poudre d’amandes du croustillant. Ils sont gourmands à souhait. Normalement, on peut les conserver quelques jours dans une boîte. Dans mon cas, les biscuits ne voient jamais vraiment la boîte…

Les petits bouquets de mon fils m’enchantent toujours, ils sont tellement mignons, en voici un que je vous fais partager.

Ingrédients :

• 100 g de beurre

• 30 g de sucre

• 2 c. à soupe de miel liquide

• 125 g de farine

• 40 g de poudre d’amandes

• 1 pincée de levure chimique

• les zestes d’un citron biologique ou non traité

Préchauffez le four à 170°C.

Dans une casserole, faites fondre le beurre et le miel.

Dans un saladier, mélangez  le reste des ingrédients. Ajoutez le contenu de la casserole et mélangez à nouveau.

Tapissez de papier sulfurisé la plaque du four. Déposez-y des cuillères à café de pâte bien espacées, et aplatissez-les un peu avec le dos de la cuillère. A l’aide d’une fourchette, faites quelques lignes sur le dessus.

Enfournez pour 12 à 15 minutes environ.

Laissez-les biscuits refroidir sur une grille et dégustez-les !

Avec le printemps, l’époque des vide-greniers et brocantes commence juste. Ouvrez bien les yeux, peut-être une assiette vous attend quelque part prête à être remplie de délicieux biscuits !

Eva.

Je vais vous raconter comment cette jolie assiette est arrivée chez moi…

Le weekend dernier, un grand vide-grenier était organisé dans les rues de Bordeaux,comme chaque année à la même période, pendant deux jours.

J’aime beaucoup les vides-greniers. Il y a toujours une ambiance spéciale et on peut découvrir toutes sortes d’objets. C’est très amusant, c’est un peu comme faire une chasse aux trésors.

Tout le monde y trouve son compte, les exposants vendent des objets anciens qui les encombrent et nous on trouve de nouveaux objets qui  nous enchantent !

De vieilles demeures ouvrent leurs portes et se prêtent au jeu pour notre plus grand bonheur.

Des objets rares et insolites se mélangent avec de la vaisselle ancienne, des habits, des accessoires…un bric à brac où forcément, on trouve toujours quelque chose à rapporter à la maison.

De quelle année date cette voiture ? J’imagine un petit garçon à l’intérieur dans les années 50 heureux de conduire cette petite merveille.

Samedi, on a eu un temps plutôt gris et froid mais d’un coup le dimanche, le beau temps s’est installé.

…c’était l’été !!  Un petit plus de temps, pour se promener et continuer à chercher des trésors.

Mon fils a négocié 5 voitures de course à 1 euro. La jolie « vendeuse » l’a laissé choisir les modèles qu’il voulait tranquillement.

Samedi, j’ai craqué pour une assiette anglaise qui m’a couté 1 euro ! Pour fêter son arrivée à la maison, j’ai réalisé quelques biscuits.

Je me demande comment cette assiette anglaise a fini son voyage à Bordeaux. A t-elle d’abord été achetée par une famille anglaise ? Ou bien, est-ce la dame française qui me l’a vendu qui l’a directement ramené ?

Je vous donnerai la recette des biscuits la prochaine fois…

Eva.

Pourquoi attendre l’été pour se régaler avec une bonne glace ? Ce dessert est rapidement réalisé. Il peut se préparer à l’avance et être conservé pour les repas improvisés.

Cette recette est surprenante, je l’ai trouvé par hasard sur internet, son titre « glace à la banane avec un seul ingrédient » a tout de suite attiré mon attention. J’avais des bananes à la maison et je l’ai testé tout de suite.

Pelez 2 ou 4 bananes ( cela dépend de la quantité que vous souhaitez ) et coupez-les en rondelles. Posez-les dans un récipient fermé. Mettez-le dans un bac au congélateur et attendez au moins 2 heures.

Ce temps passé, sortez les bananes et les disposer dans le bol de votre robot, mixez  quelques secondes à une vitesse un peu forte et après continuez à mixer pendant quelques minutes à une vitesse moins importante.

Vous obtenez une crème glacée, vous pouvez la consommer tout de suite ou la remettre au congélateur pour une consistance correspondant plus à la nature de la « glace ».

N’hésitez pas à l’accompagner de pépites de chocolat ou d’une sauce au chocolat et amandes grillées pour encore plus de gourmandise !

Eva.

La recette de ces délicieux sandwichs vient directement du restaurant Noglu à Paris, où son chef Frédérique Jules, intolérante au gluten fait une cuisine imaginative et sans gluten.

A la maison, personne n’a d’intolérance au gluten mais on apprécie ce type de recettes saines et équilibrées.

Ingrédients :

• 8 tranches de pain de mie sans gluten

• 2 c. à soupe d’huile d’olive

• 150 g de fromage de chèvre frais

• 150 g de filets de truite fumée

• 1 avocat

• 1/2 citron

• Des jeunes pousses d’alfalfa et de cresson

Faites griller les tranches de pain. Badigeonnez-les avec un filet d’huile d’olive.

Tartinez 4 tranches avec le fromage de chèvre frais. Poivrez.

Recouvrez de truite émincée, de lamelles d’avocat citronnées et le mélange d’alfalfa et de cresson. Recouvrez avec les 4 tranches de pain grillé.

Coupez chaque sandwich en diagonale pour former des triangles.

Avec le beau temps qui arrive, j’ai envie de manger avec plus de légèreté  mais tout en continuant avec beaucoup de gourmandise.

Ce petit repas est parfait pour une pause déjeuner décontractée.

Eva.

Ce petit pain sucré réalisé avec des épices, des raisins et des agrumes, se mange traditionnellement le vendredi Saint. Au Royaume-Uni, on peut en trouver toute l’année.

La croix est le symbole de la crucifixion, elle peut être faite de différentes manières : avec un mélange de farine et d’eau, en papier de riz, avec un glaçage ou simplement avec deux coupures à angle droit.

J’ai préféré la faire simplement en déposant des oranges confites en forme de croix.

Ingrédients :

• 300 g de farine semi-complète

• 200 g de farine t 65

• 1 pincée de sel

• 1 pincée de cannelle

• les zestes d’un citron

• 8 g de levure de boulanger

• 65 g de raisins de Corinthe

• 85 g de sucre

• 1 œuf

• 20 cl de lait

• 60 g de beurre doux

• Pour le glaçage (1 c. à soupe de cassonade ou de confiture mélangée à 1 c. à soupe d’eau )

Délayez la levure dans le lait chaud, puis laissez reposer environ 10 minutes, le temps d’activer la levure.

Dans un grand saladier, tamisez la farine, le sel, la cannelle et mélangez avec les zestes du citron et le sucre. Mélangez le beurre du bout des doigts, jusqu’à obtenir un mélange ressemblant à de fines miettes.

Fouettez l’œuf et incorporez-le au mélange.

Faites un puits au centre et incorporez petit à petit le lait mélangé à la levure. Vous obtenez une pâte collante.

Pétrissez-la, à la main, sur un plan fariné, pendant plusieurs minutes ou au robot, afin d’obtenir une pâte élastique qui ne colle plus aux doigts.

Dans un endroit tiède, laissez lever la pâte recouverte d’un torchon propre pendant au moins 1h ou jusqu’à ce qu’elle ait doublé de volume.

Divisez la pâte en 12 boules. Posez-les sur une plaque à four recouverte de papier sulfurisé. Laissez reposer à nouveau pendant 1/2 heure.

Préchauffez le four à 190°C.

Enfournez pendant 15 à 20 minutes. Dès la sortie du four réalisez le glaçage, à l’aide d’un pinceau.

Laissez refroidir légèrement avant de les déguster tièdes.

J’aime bien les gâteaux traditionnels qui se font pour diverses occasions et pour célébrer des fêtes au cours de l’année. En Espagne, par exemple, pour Pâques, les « torrijas » (pain perdu) sont typiques et les « huesos de santo » (petits os de saint) sont fabriqués en pâte d’amande avec des parfums différents.

Joyeux Pâques à tous !

Eva.

Se promener dans le quartier des Chartrons à Bordeaux est toujours un plaisir. C’est un des plus anciens quartiers de la ville qui en peu de temps est devenu un quartier très prisé avec de beaux magasins et des restaurants pour tous les goûts.

La halle des Chartrons est en général, toujours très animée surtout lorsque le soleil nous rend visite.

C’est sur cette place qu’on a découvert une nouvelle adresse très sympathique : Sister !

Anne-Evelyne a baptisé le café avec le nom de Sister parce qu’elle voulait créer un lieu chaleureux. Un endroit convivial dans lequel on se sent vite comme à la maison. Et, c’est réussi ! On se sent tout de suite comme à la maison.

Le soleil absent à l’extérieur, rayonne à l’intérieur grâce au mimosa et à la lumière du lieu.

Une décoration vintage comme je les aime, avec sa vaisselle et son mobilier dépareillés.

Le principe de Sister, me fait penser aux cafés anglo-saxons. Des repas simples, frais et faits-maison, sont mis à votre disposition dans un grand réfrigérateur et puis seront chauffés. Ma copine a choisi une délicieuse quiche aux courgettes.

Et moi, un mélange de quinoa et légumes savoureux.

Pour Véro, moelleux au chocolat et chocolat chaud.

Pour moi, cupcake chocolat et chai tea latte. Un vrai moment de gourmandise.

Après ce repas gourmand entre filles, on a fait une petite balade dans le quartier. La Rue Notre Dame toujours aussi animée est parfaite pour flâner.

On a bien sûr profité de l’architecture riche et authentique de ce quartier.

Certaines façades de boutiques semblent être hors du temps.

Pour les amateurs d’antiquités, la Rue Notre Dame est l’endroit incontournable, les meilleures boutiques d’antiquités se trouvent ici.

Cette façade donne envie de se mettre au vert.

Des façades surprenantes de tous les styles mélangés par-ci par là.

Même sur les portes vous trouvez des détails surprenants.

Un chat derrière la vitrine observe la rue et garde le magasin.

Et voici, le mystérieux chat qui vole. On dirait un chat gigantesque, plus grand que la halle des Chartrons. Ceux qui me suivent sur Instagram et Facebook l’ont déjà vu !

En réalité, lui aussi été derrière la vitrine, stoïque installé sur son promontoire.

Eva.