Pour réaliser cette salade, je me suis inspirée du printemps. Elle est fraîche, colorée et pleine de vitamines.

Un vrai booster d’énergie dans votre assiette !

Ces petites barques colorées se trouvent dans le port de Bermeo et Mundaka. Un joli petit village qu’on a visité, près de Bilbao.

Ingrédients pour 2 personnes :

• 150 g de boulgour

• 1 Avocat

• 1 Pomme

• Des asperges

• Pousses de salades

• 1 Pamplemousse

• 4 œufs de caille

• Vinaigrette (sel, poivre, moutarde à l’ancienne, vinaigre et huile d’olive)

D’abord, dans une casserole, faites bouillir de l’eau. Introduisez le boulgour et faites-le cuire selon les indications sur le paquet.

Pendant la cuisson du boulgour, préparez les asperges. A l’aide d’un couteau, retirez les filaments des asperges.

Remplissez à moitié d’eau une autre casserole, portez à ébullition et plongez-y les asperges.

Faites-les cuire pendant 2 ou 3 minutes, puis égouttez-les et plongez-les aussitôt dans un bol d’eau glacée.

Une fois le boulgour cuit et les asperges prêtes, vous coupez les autres ingrédients en petits morceaux.

Dans une poêle, versez un filet d’huile d’olive et faites cuire les petits œufs.

Vous pouvez maintenant, commencer à dresser votre salade. D’abord, les pousses de salades, puis le boulgour et enfin tous les aliments restants.

Je préfère dresser la salade directement sur les assiettes. J’imagine aussi cette salade différemment, avec des morceaux plus petits, dans des verrines pour un apéro dînatoire.

Et si on donnait un peu de couleur aux jours de pluie ?

Eva.

Les mercredis après-midi, les enfants n’ont pas école. C’est souvent l’occasion de faire une belle balade au Parc Bordelais et de profiter de la nature tout en restant en ville.

Les enfants aiment beaucoup les cookies, cette fois-ci, on a décidé d’y intégrer des pralinettes. Ces petites amandes enrobées de sucre sont parfaites pour ces petits biscuits.

Ingrédients :

• 125 g de beurre à température ambiante

• 100 g de rapadura ou de cassonade

• 1 œuf

• 185 g de farine

• 1 pincée de sel

• 1 c. à s. de vanille en poudre

• Quelques pralinettes

Coupez le beurre en morceaux et déposez-le dans un saladier.

Versez la cassonade et mélangez de façon à obtenir une crème.

Ajoutez l’œuf en battant bien puis la vanille. Incorporez petit à petit la farine et la pincée de sel. Mélangez bien.

Préchauffez le four à 180°C.

Chemisez une plaque à four de papier sulfurisé et déposez des petits tas de pâte. Déposez dans chaque cookie, 2 ou 3 pralinés en les enfonçant très légèrement. Faites cuire pendant une quinzaine de minutes.

Accompagnés d’un verre du lait et d’un jus de fruit, ces délicieux cookies sont un goûter idéal pour tout le monde.

Les jardiniers ont planté de jolies fleurs mais pour les arbres ce n’est pas encore le printemps !

Eva.

Ces madeleines sont moelleuses à souhait et la touche citronnée donne un petit goût acidulé extra !

J’ai préféré les réaliser dans des petits moules pour les offrir lors d’un café gourmand.

La recette originale est de Claire Heitzler qui pendant trois années consécutives, a été sacrée meilleure pâtissière.

Ingrédients :

• 130 g de farine

• 6 g de levure chimique

• le zeste d’ 1/2 citron bio

• 40 g (40 ml) de lait entier

• 20 g de miel

• 130 g de beurre

• 2 œufs

• 85 g de sucre semoule et un peu plus pour les moules

La veille, tamisez la farine et la levure. Hachez le zeste du citron. Faites tiédir le lait additionné du miel.

Faites fondre le beurre. Gardez-le bien chaud, il donne des madeleines extra-moelleuses.

Fouettez les œufs et le sucre jusqu’à ce que le mélange blanchisse. Versez-y le lait au miel puis ajoutez la farine à la levure, ainsi que le zeste haché et  enfin le beurre chaud.

Laissez reposer la pâte au frais jusqu’au lendemain.

Le jour suivant, préchauffez le four à 180° C.

Mélangez la pâte, remplissez-en aux trois quarts des petits moules à madeleines beurrés et enfournez 12 minutes. Démoulez aussitôt et servez tiède.

Le printemps a fini par arriver même si les beaux jours ne sont pas encore vraiment là, on sent déjà comme un petit air de renouveau !

Désormais, le nom de domaine du Blog a changé, n’oubliez pas qu’à partir de maintenant, vous me trouverez en cliquant: evaettorocoro.com !

Eva.

ATTENTION ! CHANGEMENT DU NOM DE DOMAINE !

evaetsandra.com  devient  evaettorocoro.com

Bonjour à toutes et à tous ! A partir de la semaine prochaine, Eva & Torocoro change son nom de domaine.

Pour tous ceux qui souhaitent continuer à suivre le blog, pensez à changer le nom de domaine dans la liste de vos favoris.

Désormais, le nom du blog et du domaine s’intituleront pareil.

Merci à toutes et à tous pour votre fidélité !

Eva.

Je vous ai déjà parlé de mon coup de cœur pour le restaurant Garopapilles  à Bordeaux. On y mange très bien et on se régale du début à la fin. De plus, cette équipe très talentueuse est vraiment accueillante.

Le Chef Tanguy Laviale cuisine devant vous des plats sublimes. Fred aime beaucoup les petites fougasses que le Chef réalise pour accompagner ses plats.

A la fin du repas, on a bien sûr, félicité le Chef pour son travail. De fil en aiguille, on a parlé des recettes et on a demandé comment est-ce qu’il faisait ses délicieuses petites fougasses. Il n’a pas hésité une seconde à nous photocopier sa propre recette, quelle générosité !

Voici les fougasses du Chef servis dans son restaurant.

C’est bien la première fois que j’ai entre les mains, la recette d’un Chef !

Évidemment, j’ai demandé la permission pour introduire la recette dans mon blog. « Pas de souci », m’a t-il répondu.

J’aime définitivement la nouvelle génération de chefs qui décide de partager et livrer ses secrets de fabrication avec plaisir, gardant à l’esprit que la cuisine, c’est le partage.

Ingrédients :

• 300 g de farine

• 6 g de sel fin

• 30 g d’huile d’olive

• 150 g d’eau tiède

• 18 g de levure boulangère

Mélangez l’eau tiède avec la levure boulangère et attendez environ 10 minutes jusqu’à sa dissolution.

Mélangez la farine, le sel et l’huile d’olive et rajoutez la levure diluée.

Disposez-le dans une forme allongée et laissez reposer pendant 30 minutes dans un endroit tiède.

Après ce temps écoulé, coupez des petites tranches à l’aide d’un couteau.

Formez des boules et laissez-les reposer jusqu’à ce que les boules soient bien levées.

Cuisson de 5 à 7 minutes à 190°C.

Ces fougasses sont idéales pour accompagner vos repas mais aussi pour un moment de gourmandise. Je n’ai pas pu résister, je les ai dégusté avec un bon jambon Serrano. C’est parfait !

Merci encore Chef et à bientôt !

Eva.

Un jour, en regardant le blog de Miss Bobo Chic, j’ai découvert un cake à l’After Eight. Depuis, j’ai voulu reproduire ce fameux cake mais je ne l’ai pas fait. En attendant, j’ai réalisé des moelleux au chocolat à l’After Eight.

J’aime beaucoup ces petits chocolats remplis d’une fine couche de menthe.

J’ai alors eu l’idée de remplacer le carré de chocolat par un After Eight.

Si vous aimez la menthe et le chocolat, ces moelleux sont faits pour vous.

Ingrédients :

• 200 g de chocolat noir

• 100 g de beurre

• 4 œufs

• 40 g de farine

• 10 After Eight

Allumez le four sur 240° et beurrez les ramequins.

Faites fondre le beurre et le chocolat cassé en morceaux au bain-marie. Fouettez les œufs entiers.

Ajoutez la farine puis le mélange chocolat et beurre fondu.

Mélangez bien, répartissez la préparation dans les ramequins en les remplissant aux 2/3. Glissez 1 After eight coupé en morceaux dans chacun.

Faites cuire 8 à 10 minutes au four.

Dès la sortie du four, introduisez un petit morceau d’After Eight dans chaque ramequin. L’After Eight va fondre petit à petit et vous obtenez un moelleux encore plus gourmand.

Cette recette peut être préparer la veille. A ce moment là, vous réservez les ramequins remplis de pâte au frais et faites cuire les moelleux au dernier moment.

Eva.

Précédemment, je vous ai parlé des températures exceptionnelles du weekend dernier. On n’a donc pas hésité une seconde pour choisir notre destination, direction le Canon sur le Bassin d’Arcachon.

On a découvert un endroit charmant pour manger et déguster des huîtres. La Canfouine est au bord de l’eau ou pas, cela dépend bien sûr des marées.

En tout cas, l’endroit est très beau. La décoration est simple et chic. La Canfouine veut dire bicoque en patois. Le nom est bien choisi, ce lieu est une véritable bicoque !

J’ai beaucoup aimé cette grande table en bois, les chaises en fer et bien sûr cet énorme poisson en bois qui trône sur la table !

Vous pouvez constater en lisant ces ardoises, que le Bassin d’Arcachon a son propre vocabulaire !

La vue est magnifique ! Les bancs d’ huîtres sont à portée de main. Ici, on respire l’air marin.

La terrasse était envahie évidemment. On a quand même eu la chance d’avoir une table pour nous quatre. L’ambiance était définitivement estivale.

Ne vous inquiétez pas pour les coups de soleil, La Canfouine pense à tout ! Ces chapeaux sympas sont à votre disposition. Les enfants et moi en avons bien profité !

Torocoro aussi était parmi nous, sur le T-shirt d’Ana.

Les huîtres sont bien fraîches et iodées. Les crevettes du Bassin sont label rouge et sont très bonnes.

Louis adore les bulots accompagnés d’une bonne mayonnaise. Vous pouvez aussi commander du pâté maison relevé au piment d’Espelette.

Certes, sur le Bassin d’Arcachon, vous pouvez trouver  beaucoup d’endroit pour manger des huîtres et peut-être a des pris plus bas. Mais le paradis et la qualité n’ont pas de prix !

On ne se lasse jamais de ce lieu. Les marées changent, la lumière est toujours particulière, si bien que les paysages sont à chaque fois uniques et éphémères .

Pendant que les grands finissent leur verre de vin blanc tranquillement, les enfants jouent déjà sur le ponton suspendu. C’est la liberté pour tous !

On reviendra, c’est sûr ! Parce qu’ici, il n’y a pas que les paysages et les huîtres, La Canfouine, c’est aussi une équipe sympa, accueillante et formidable. Les enfants ont bien apprécié de repartir avec des marshmallows.

Parfois, le paradis peut être très proche de nous. Nous, on l’a trouvé à seulement 45 minutes de chez nous.

Eva.

Ce weekend fut exceptionnel avec des températures printanières très agréables. La pannacotta, ce fameux dessert italien, nous a accompagné pour cette pause ensoleillée. Elle est fraîche, gourmande et se décline à l’infini : pannacotta aux fruits rouges, à la vanille…

J’aime beaucoup le café après un bon repas, il me parait indispensable. Avec ce dessert, je suis comblée.

L’onctuosité de la crème alliée à la force du café et la gourmandise du chocolat permettent un moment de plaisir.

 Au Cap Ferret, des enfants pataugeaient déjà dans l’eau comme pendant une journée d’été. C’est un vrai privilège d’ habiter à seulement 45 minutes du Bassin d’Arcachon.

Ingrédients :

• 40 cl de crème fleurette entière

• 40 g de sucre

• 2 feuilles de gélatine (5 g)

• 2 g de café ou de décaféiné lyophilisé (1 sachet individuel)

Suggestion de présentation :

• chocolat noir râpé

• Petits morceaux d’oranges confites

Dans un bol, faites tremper la feuille de gélatine avec de l’eau froide.

Dans une casserole, chauffez la crème fleurette avec le sucre et le café. Dès qu’elle frémit, ôtez du feu et incorporez la feuille de gélatine essorée. Mélangez bien.

Répartissez-la dans les verrines de votre choix, en les remplissant aux 2/3.

Au moment de servir, râpez un peu de chocolat noir et saupoudrez-en chaque verrine. Posez quelques petits morceaux d’oranges confites ou citrons confits.

La pannacotta est un dessert qui se prépare à l’avance en moins de 15 minutes. Un atout quand vous recevez des invités…

Et vous, votre weekend a-t-il été ensoleillé ?

Eva.

On est presque arrivé au printemps. Les jours commencent à rallonger et le soleil est de retour, l’envie de sortir et de prendre l’apéro aussi ! Je vous propose donc un amuse-bouche orignal.

J’ai découvert ce chou frisé, appelé Kale,  il y a peu de temps. Depuis cette découverte, j’ai réalisé une tarte salé avec, une salade et maintenant des chips !

Je dois dire, que quand j’ai vu cette recette par hasard sur internet, j’étais un peu réticente. Je me suis quand même lancée. Le résultat est très surprenant. En bouche, elles croustillent comme de vraies chips mais en beaucoup plus légères et plus fines. Leur goût est unique !

J’ai dans le même temps réalisé des graines de tournesol et de potiron.

Pendant notre weekend à Bilbao, on a visité Mundaka. Ce petit village est connu des surfeurs du monde entier à cause de ses fameuses vagues. Il paraît qu’elles sont extraordinaires. Ce jour-là, c’était plutôt calme, mais on a toutefois aperçu quelques surfeurs.

Ingrédients :

• Feuilles de Kale

• Huile d’olive

• Fleur de sel

• Graines de tournesol et de potiron

Dans un plat à four, étalez du papier sulfurisé. Enlevez les côtes et déchirez les feuilles en morceaux. Versez un filet d’huile d’olive par dessus et saupoudrez de fleur de sel.

Faites cuire au four à 180° pendant 10 minutes environ.

Vos feuilles sont prêtes, vous pouvez les conserver 2 ou 3 jours.

Pour les graines, c’est très facile. Vous disposez les graines crues dans le plat qui va au four recouvert d’une feuille de papier sulfurisé. Arrosez avec un filet d’huile d’olive et salez.

Enfournez à 180° pendant 15 minutes environ. Ces  graines seront parfaites pour votre apéritif mais aussi pour mettre un peu de « peps » dans vos salades comme dans celle-ci.

Dans un bocal, on peut les conserver quelques jours sans problèmes. Attention, en général, on ne peut pas s’arrêter d’en manger si bien que le problème de la conservation ne se pose pas !

Regardez bien l’horizon, les beaux jours ne sont pas loin !

Eva.

Pendant les vacances scolaires, nous avons passé un weekend à Bilbao avec les enfants. Ils étaient ravis de découvrir un autre coin d’Espagne.

Le premier mot qui vient à la bouche des gens lorsqu’on parle de Bilbao, c’est Guggenheim, le musée bien sûr. Ici,nous avons découvert beaucoup plus qu’un musée.

La ville a un beau patrimoine architectural et culturel, elle montre un réel dynamisme.

Dans le passé, Bilbao était une des villes les plus riches d’Espagne. Après des années difficiles liées à la crise économique, la ville s’est plongée dans le noir et la tristesse. Ses façades sont apparues sales et mal entretenues.

Dans les années 80, Bilbao a lancé un énorme plan de revitalisation urbaine. Le grand projet de ce plan fut la construction du célèbre musée Guggenheim. Quelques années plus tard après le lancement du programme, la ville s’est métamorphosée.

Aujourd’hui, se promener dans Bilbao est un vrai plaisir.

Les plus grandes signatures mondiales viennent apporter leur patte : celle du musée Guggenheim dessiné par Frank Gehry, l’aéroport et le pont de Santiago Calatrava, le gratte-ciel de César Pelliqui, le centre culturel de la Alhondiga dont le design est de Philippe Starck.

Bilbao s’entoure de pointures de l’architecture et l’ensemble des constructions se mélange parfaitement aux édifices classiques comme le Théâtre Arriaga. Ce patrimoine fait de cette ville, une destination incontournable.

Le « Casco Viejo » ou les « Sept Rues » est le quartier le plus ancien de la ville. A l’intérieur, on peut contempler des façades multicolores, une cathédrale et trois églises charmantes.

En seulement quelques années, Bilbao est devenue une ville touristique à part entière. L’année dernière, elle a même dépassé la très prisée ville balnéaire de San Sebastian en nombre de visiteurs.

Rien de mieux que des châtaignes grillées pour une petite pause gourmande. Louis est très fier de pouvoir lui-même demander un cornet de châtaignes, en espagnol, bien sûr !

La « Plaza Mayor » est splendide. Dommage que les terrasses soient fermées ce jour-là, à cause de la pluie. Il nous faut revenir aux beaux jours !

Bilbao regorge de bars à tous les coins de rue. A l’intérieur, vous pouvez consommer sans modération les fameux « Pintxos », des tapas les uns plus bons que les autres. Pour choisir le bon endroit, c’est très simple. Vous rentrez et vous observez ce qu’il y a sur le comptoir, si ça vous plaît, vous restez.

On a suivi le conseil que nous a donné notre hôtelier et cela nous a plutôt réussi !

Mais si vous préférez la finesse d’un bon restaurant, Bilbao compte pas moins de huit restaurants étoilés.

A côté de la Cathédrale, ce petit magasin a attiré notre attention.

La Cathédrale Santiago fait partie du chemin emprunté par les pèlerins de Saint-Jacques-de Compostelle.

Un circuit sans fin à travers les multiples ruelles vous attend, avec à la clé de jolies découvertes.

Je vous recommande cette boulangerie pâtisserie.  Opila a toutes les spécialités de la ville comme la Carolina, le « bollo de mantequilla » ou le « pastel de arroz ».

Ils font de très bons cafés et un délicieux chocolat. Si vous préférez le salé, des petits sandwichs au Serrano sont réalisés et sont de vrais délices.

Les enfants ont beaucoup marché et ils étaient ravis de finir la journée à la foire. Ils ont beaucoup apprécié cette mini-roue.

Les bords du fleuve sont très agréables pour la promenade et la contemplation.

Toute la promenade du fleuve Nervion a été rénovée et Bilbao vit plus que jamais avec son fleuve.

Au cours de notre balade au fil de l’eau, nous avons rencontré une célèbre araignée géante. Les enfants se sont précipités vers elle. Même pas peur !

Cette belle et grosse araignée est connue dans le monde entier. Elle est l’œuvre de Louise Bourgeois. Elle a parcouru beaucoup de grandes villes dans des pays différents. Entre autres, La Havane où mon mari et moi l’avons vu pour la première fois.

La brume donne ici un côté mystérieux au site.

Cet ouvrage intitulé « Le grand arbre et l’œil » est une réalisation d’Anish Kapoor.

Le musée Guggenheim est une belle œuvre architecturale avec une lumière différente selon les moments de la journée.

Puppy attend les visiteurs à la porte du musée Guggenheim. Ce chien impressionnant a été réalisé par Jeff Koons.

Cette œuvre imposante apporte un peu de végétal et de fraîcheur dans ce quartier minéral.

J’espère que cette petite balade vous a plu et vous a convaincu d’aller prochainement visiter cette ville fantastique.

Malheureusement, je n’ ai pas pu photographier toutes les merveilles architecturales à cause du temps pluvieux et maussade. Une autre fois, j’espère bien vous montrer la ville sous un ciel plus clément.

Eva.